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Mercredi 5 mai – PFFFF…. MAIS QUI LIT CES LOIS? – Atelier mini-hacking

Écriture, codes et idéaux…Atelier 7-12 ans, 15h-17h en présentiel à l’Espace le 4e, Bibliothèque de la CitéSur inscription : https://bmgeneve.agenda.ch/ Saviez-vous que l’on pouvait facilement changer le contenu de n’importe quelle page web? Cet atelier permettra aux enfants de comprendre comment elles sont construites. Et si on en profitait pour que la politique soit faite par les enfants, sur internet? En hackant – tout à fait légalement – le site internet de la confédération pour réécrire son code source, nous y inscrirons ensemble les lois imaginées par les enfants. En prenant le temps de discuter ensemble, nous repartirons de zéro et les laisserons revendiquer une nouvelle société possible : quelles règles réinventer pour la vie collective? Ces supers idées seront exposées dans les réseaux des BM afin qu’elles se propagent. Une fois que la constitution aura été hackée et réécrite sur les sites officiels, le collectif anthropie invitera la confédération à prendre en compte la société possible imaginée par les enfants. Voir aussi, avec le collectif anthropie : Table ronde le mercredi 5 mai à 19h : « Comment militer quand il n’y a plus de rue?Atelier adultes le samedi 8 mai à 15h : « Bugs et glitchs contre GAFAM » Retours d’atelier :

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Mercredi 5 mai / COMMENT MILITER QUAND IL N’Y A PLUS DE RUE ? / Table ronde

Avec la crise sanitaire actuelle, les luttes sociales et politiques se sont aussi confinées, puis réinstallées dans des territoires virtuels encore plus contrôlés que l’espace public. Alors, comment se retrouver, se soutenir, se rendre visible, militer quand il n’y a plus de rue? La thématique annuelle “Fenêtre sur rue” est l’occasion de regarder par d’autres fenêtres de visibilité et d’organisation militantes en ligne.  En présence d’une activiste expérimentée qui n’a pas cessé de lutter pendant le confinement, d’un chercheur travaillant sur les combats numériques et d’un collectif d’artivistes explorant les croisements de l’art, du numérique et du politique, cette table ronde se veut un moment d’échange libre autour de la question. Elle abordera les enjeux auxquels se sont vus confrontés les collectifs activistes de terrain, mais aussi les modes d’actions et les stratégies natives du cyberespace qu’on appelle généralement hacktivismes. Comment s’organiser soudainement en ligne quand on n’a pas l’habitude? Peut-on attaquer la surveillance numérique de l’intérieur? Le militantisme en ligne est-il plus inclusif? Y’a-t-il des liens entre  espaces physiques et numériques comme lieux de revendication? Quels sont leurs enjeux de pouvoir et de régulation? Avec :émilie Ferreira, militante féministe et antiraciste engagée pour la souveraineté alimentaire et interprète de conférenceAurélien Maignant, Doctorant en littérature moderne à l’Unil, en politique des expressions digitales et mediactivismesCollectif Anthropie, Collectif d’écriture intéressé par le hack et l’artivisme Modération :Jonas Hauert, Libraire à la librairie La Dispersion La tenue de cette table ronde sera adaptée aux mesures sanitaires en vigueur, toutes les informations vous seront envoyées par mail. Voir aussi, avec le collectif anthropie : Atelier jeune public le mercredi 5 mai à 15h : « Pffff… Mais qui lit ces lois? »Atelier adultes le samedi 8 mai à 15h : « Bugs et glitchs contre GAFAM »

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8 mai 2021 – BUGS ET GLITCHS CONTRE GAFAM* – Un atelier les mains dans les pixels

15h-17h en présentiel à l’Espace le 4e, Bibliothèque de la CitéSur inscription : https://bmgeneve.agenda.ch/ L’espace des réseaux en ligne, ou cyberespace, dans lequel nous passons une partie de nos vies, n’est pas neutre. Il est structuré par des intérêts économiques et politiques, qui régulent nos trajectoires, nos communications et organisent notre attention et nos connaissances. Comment se réapproprier les données? Comment exploiter leur potentiel esthétique et politique? Dans cet atelier, vous explorerez les méthodes du glitch art, qui permettent de produire des objets visuels étranges à partir d’un détournement de données, ainsi que différentes possibilités d’activisme numérique… En commençant par apprendre à corrompre le code source d’images ou de vidéos, on en viendra organiquement à réfléchir sur des formes de désobéissance civile en ligne. Comment pirater sans pirater, simplement en le faisant croire? Comment réécrire des sites internet, en écriture inclusive par exemple? Peut-on faire saturer les serveurs d’une entreprise? Peut-on organiser une manifestation de robots sur twitter? Pas de compétence pré-requise pour participerAvec le collectif Anthropie *GAFAM : Google Amazon Facebook Apple Microsoft Voir aussi, avec le collectif anthropie : Atelier jeune public le mercredi 5 mai à 15h : « Pffff… Mais qui lit ces lois? »Table ronde le mercredi 5 mai à 19h : « Comment militer quand il n’y a plus de rue?«  Retours d’ateliers : Quelques images « glitchées » pendant l’atelier :

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Podcasts ? Une introduction.

Dans ce nouveau rendez-vous mensuel du 4e, les Bibliothèques municipales vous proposent des recommandations d’applications pratiques, de jeux sur smartphones ou tablettes et de podcasts choisis par des bibliothécaires. Dans cet article, on vous parle de podcasts. Quelques astuces d’écoute et des podcasts à découvrir.

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Samedi 24 avril – « Fêtes » vos propositions – Espace le 4e

Atelier de cartographie sensible, partage de points de vue et apprentissage d’outils numériques participatifs Qu’est-ce qui vous lie à votre territoire? Quelles fêtes, quelles manifestations sont importantes pour vous? Lesquelles souhaiteriez-vous voir apparaître?  Cet atelier s’inscrit dans le cadre d’une consultation citoyenne, appelée “1/3 lieu_2 cultures”. Elle invite les habitant·e·s de ce territoire qu’on appelle “Le Grand Genève” à être force de proposition pour le développement d’une politique culturelle transfrontalière, à travers une série d’ateliers. À partir de plans, vous raconterez vos lieux, leurs anecdotes, vos habitudes, vos idées, que vous partagerez ensuite sur une carte interactive en ligne. Il s’agit de s’approprier le territoire en échangeant sur vos perceptions et sur la façon dont vous interprétez les usages et l’évolution de votre espace commun. Vous apprendrez également à utiliser l’outil participatif Miro. Après la table ronde “Mais qui est ‘smart’ dans la ‘city’?” et l’atelier pour les enfants “En quête de fêtes”, voici une troisième proposition autour de la cartographie et de la participation citoyenne au territoire genevois. À la fin des ateliers, une grande illustration “cartographie SENSible” sera créée, qui rassemble vos sensibilités. Atelier de 15h à 17h, en présentiel à l’Espace le 4e, Bibliothèque de la Cité. Inscriptions sur bmgeneve.agenda.ch Pour en savoir plus sur le projet, voir le projet sur le site du Sismographe Pour voir les résultats de ces deux années de consultation : https://participer.ge.ch/processes/un-tiers-lieu-de-Culture Aussi, dans le cadre de notre leur collaboration avec l’Université de Genève, 1/3 Lieu_2 Culture organise un séminaire ouvert à toutes et tous autour de la thématique : Quel rituel d’inclusion territoriale dans le Grand Genève ? avec la présence des sociologues Sandro Cattacin et Fiorenza Gamba. Ce séminaire aura lieu le 30 avril 2021 à l’Auberge de Vergers, coopérative étonnante et lieu fédérateur au cœur de l’Eco-quartier des Vergers à Meyrin. La soirée sera complétée par d’autres animations : l’enregistrement public d’une émission de radio 1/3 Lieu_2 Culture sur la même thématique et un concert. Les participant·e·s des ateliers et plus largement les publics des Bibliothèques Municipales pourront ainsi approfondir la thématique abordée lors des ateliers.

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HyperCity – Histoire(s) et imaginaires de nos rues – Parcours/récit Jonction

À voir dans les rues et/ou en ligne sur hypercity.ch « Lisez-moi… » Ces mots soufflés par des panneaux accrochés à des arbres invitent à plonger dans les histoires qui remplissent nos rues et qui font les identités singulières de notre ville. Pour écouter ces récits, tissés entre la préhistoire et le futur, on saisira avec son smartphone les codes QR suspendus dans les branchages et on glissera ses écouteurs dans ses oreilles. Des voix de comédiennes donnent vie, d’arbre en arbre, à ce fourmillement d’histoire(s), d’imaginaire et de vécu. Après la balade, on prolongera l’immersion en explorant les ramifications de chaque parcours vers des livres, films et morceaux de musique connectés à des points particuliers du territoire urbain, ainsi que vers des contenus en ligne et vers des rendez-vous de la programmation culturelle « Fenêtre sur rue » des Bibliothèques municipales. La ville autour des 7 succursales des bibliothèques se présente ainsi comme une page remplie d’hyperliens, sur lesquels on appuie pour naviguer, en immersion, entre vingt-mille récits sous les rues. Les 7 parcours-récits sont mis en ligne et dans l’espace public autour des 7 succursales des Bibliothèques municipales aux dates suivantes:– Cité/Rues Basses: vendredi 5 février 2021– Jonction: mardi 16 mars 2021– Pâquis: samedi 17 avril– Eaux-Vives: dimanche 9 mai 2021– Minoteries/Plainpalais/Bout-du-Monde, Saint-Jean, Servette/Cornavin: septembre-novembre 2021

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Rencontre avec Velibor Čolić – Autour de « Manuel d’exil » et du « Livre des départs »

Ayant déserté l’armée bosniaque, le narrateur de Manuel d’exil : comment réussir son exil en trente-cinq leçons se retrouve seul et sans argent dans un foyer d’accueil en France. Dans une langue pleine de fantaisie et d’humour, Velibor Čolić décrit sans apitoiement, avec une ironie féroce et tendre, la condition des réfugié-e-s. Rencontre animée par Julien Rapp, journaliste) Dans le cadre de la Semaine contre le racisme en Ville de Genève (www.non-au-racisme-geneve.ch)

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Semaine d’Action Contre le Racisme : du 20 au 28 mars

Chaque année la Semaine contre le racisme en Ville de Genève se déroule autour de la date symbolique du 21 mars, la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale. Malgré la situation sanitaire incertaine, la Ville de Genève, en partenariat avec de nombreuses associations, continue à affirmer son engagement contre toute forme de discriminations raciales grâce à un programme d’événements adaptés en format numérique. Retrouvez les évènements qui se passent aux Bibliothèques Municipales sur cette page dédiée, et l’entièreté de la programmation sur le site www.non-au-racisme-geneve.ch Cliquez ici pour voir les tables rondes en direct

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Pistes de lecture jeunesse anti-racistes avec «Mistikrak!»

Des lectures anti-racistes étaient prévues samedi 20 et dimanche 28 mars à 10h15. Elena Gilardoni, médiatrice à la Bibliothèque de la Cité, ne pouvant accueillir les enfants, elle vous propose de découvrir ici le site de Mistikrak. « Mistikrak! » est un site qui propose et critique des livres jeunesse ayant au moins un personnage noir ou métissé de descendance africaine et/ou caribéenne. Dans la tradition orale de plusieurs pays créoles, les conteurs débutent leurs histoires par «yé krik», une expression qui sert surtout à s’assurer de la participation et de l’attention du public. Ce dernier devra d’ailleurs répondre par un «yé krak!» enthousiaste pour démontrer qu’il est prêt et disposé à écouter le conte. Tout au long de sa narration, le conteur peut lancer de temps en temps, lors de moments clés du récit, diverses variations de cette expression: «yé mistikrik?», «krik?», «mistikrik?» auxquelles le public devra répondre, vous l’aurez deviné, soit «yé mistikrak!», «krak!», ou encore «mistikrak». Le nom de ce blog traitant de diversité raciale en littérature jeunesse est donc un clin d’oeil à ces traditions créoles. Plus d’informations sur la page Facebook Mistikrak Lectures Jeunesse ou sur leur site web.Découvrez aussi la bibliographie que Mistikrak a fait en collaboration avec le site Ricochet.Enfin, retrouvez les livres tout près de chez vous, dans le catalogue en ligne des Bibliothèques Municipales

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Lundi 22 mars à 19h – Rues, monuments, statues… Qui veut-on célébrer dans nos villes? Partie II

La table ronde sera diffusée en direct sur la page Facebook Egalité et diversité dans la Ville et sur la page Live Streaming. La présence de symboles patriarcaux et coloniaux, mais aussi le manque de représentativité des femmes, des personnes racisées et LGBTIQ+ dans l’espace public suscitent actuellement de vifs débats. Les noms de rues, les statues, les bustes, les monuments: que nous enseignent-ils du passé et du présent? Qui est représenté-e dans l’espace public et comment? Qui est glorifié-e et célébré-e et pourquoi? Qui reste invisible? Bien que la Suisse n’ait pas possédé de colonies, ses liens avec l’entreprise coloniale et esclavagiste sont de plus en plus questionnés aujourd’hui. Un certain nombre de lieux et de monuments à Genève rendent hommage à des personnalités ayant participé à la diffusion de l’idéologie coloniale et de la pensée raciale. La présence de tels personnages dans l’espace public provoque actuellement des réactions controversées et soulève un nombre important de questions qui touchent à la mémoire collective. Quelles approches et quelles actions pouvons-nous envisager pour répondre à cette problématique? Qu’en est-il de la représentation des personnes noires dans l’espace public? Intervenant-e-s: Mohamed Mahmoud Mohamedou, professeur d’histoire internationale à l’Institut des hautes études internationales et du développement de Genève (IHEID) Noémi Michel, maître-assistante en théories politiques à l’Université de Genève, co-fondatrice et coordinatrice du groupe de recherche PostCit Nesrine Ghulam, membre de association l’Escouade à l’origine du projet de féminisation des noms de rues 100Elles* Jeanne Gillard, membre du collectif Rosa Brux et des Archives contestataires ayant participé à la réalisation de l’exposition «Nous, saisonniers, saisonnières…» Modération: Laurence Difélix, journaliste et productrice à la RTS Pourquoi « partie II »? La Semaine de l’égalité et la Semaine contre le racisme en Ville de Genève proposent en 2021 plusieurs événements invitant le public à réfléchir aux enjeux de genre et de racisme autour des représentations symboliques et mémorielles dans l’espace public. À travers plusieurs tables rondes c’est une question politique qui sera posée: qui la collectivité souhaite-t-elle célébrer dans les rues de ses villes? A qui la communauté choisit-elle de rendre hommage? Qui choisit et quelles sont les règles? Pour (re)voir la première partie, proposée dans le cadre de la Semaine de l’égalité : https://vimeo.com/518587951

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