Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 16. «Park Bench» – Chris Staples (2016) La chanson et le parc_ «One man dies on a park bench/One man dies on a yacht/One man dies on a business trip/In a hotel parking lot» («Un homme meurt sur un banc dans un parc/Un homme meurt sur un yacht/Un homme meurt dans un voyage d’affarires/Dans le parking d’un hôtel»)… On pourrait penser que «Park Bench» (2016) du musicien de Seattle Chris Staples est une chanson sur les différences de classe sociale. Sauf que non, c’est juste un pensum sur le carpe diem, le hic et nunc, et caetera. «How can I say, without sounding too cliche/That I want to live this day/Like it’s my last» («Comment puis-je dire, sans que ça fasse trop cliché/Que je veux vivre ce jour/Comme si c’était mon dernier»). (chrisstaples.bandcamp.com)
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 15. «L’Effrôlée Remix» – Gina & Tony (2008) La chanson et le parc_ Dans le roman L’Effrôlée de Sabrina Berreghis (L’Hèbe, 2006), une femme qui ne s’y attendait pas parcourt trois fois un parc genevois doté de colonnes, sans savoir, puis en espérant, puis en sachant qui elle y rencontrera… Au micro du duo électro-pop Gina & Tony, l’auteure lit la deuxième de ces traversées dans le morceau «L’Effrôlée Remix» (2008). «Mes pieds reprennent la direction du parc. Je ne sais pas à quoi je joue. Je veux juste la revoir. Une fois. La regarder. Bien en face. Voir son visage. De femme. Son corps. De femme. Voir que c’est une inconnue. Qu’il n’y a rien. Qu’il ne peut rien y avoir. Voir son malaise. De mon insistance. De mon attirance. Regarder ma folie par les yeux. Recouvrer la raison. Et puis rentrer chez moi»… (reverbnation.com/ginaandtony)
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 14. «Beechwood Park» – The Zombies (1968) Le parc et la chanson_ Beechwood Park est une étendue herbeuse dans le conté anglais du Hertfordshire, flanquant les villages de Flamstead (près duquel les membres du groupe The Zombies ont grandi) et de Markyate. Dans ce dernier se trouve la Beechwood Park School, école privée aujourd’hui mixte mais alors pour filles, à laquelle le père de Chris White, le bassiste des Zombies, faisait des livraisons. «Je me souviens qu’on roulait là-bas et qu’en été on voyait la vapeur monter de la route après la pluie», raconte le musicien (Dorian Lynskey, «Album of The Living Dead», The Guardian, 22.02.2008). Que dit «Beechwood Park», la chanson (1968)? «And we would count the evening stars/As the day grew dark/In Beechwood Park» («Et nous contions les étoiles du soir/Tandis que le jour s’assombrissait/Dans Beechwood Park») => Le journal The Guardian dans l’offre PressReader des BM. => L’album Odyssey and Oracle dans le catalogue des Bibliothèques municipales
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 13. «Itchycoo Park» – M People (1995) Le parc et la chanson_ «What did you do there?/I got high/What did you feel there?/Well I cried/But why the tears there?/I’ll tell you why/It’s all too beautiful» («Qu’as-tu as fait là-bas?/Je planais/Qu’as-tu ressenti?/Eh bien, j’ai pleuré/Mais pourquoi ces larmes?/Je vais te dire pourquoi/Tout était trop beau»)… Les esprits mal tournés virent là un récit vautré dans les stupéfiants. Le groupe anglais Small Faces, auteur de la chanson en 1966, prétendit au contraire qu’il ne s’agissait là que d’innocents souvenirs d’enfance. L’expression «Itchy coo» (en deux mots) désigne d’ailleurs, selon le site Urban Dictionary, «les grosses baies qu’on trouve sur les buissons de rosiers. Si la baie est fendue, de très petites graines poilues en tombent, qui irritent la peau». Quoi qu’il en soit, selon le même Urban Dictionary, la formule «Itchycoo Park» est utilisée aujourd’hui pour indiquer «un lieu d’une grande beauté où les gens vont planer». À la version originale, nous avons préféré (est-ce un sacrilège?) la reprise dansante de M People (1995). => La version originale de Small Faces dans la compilation This Is Psychedelia, dans le catalogue des Bibliothèques municipales
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 11. «Park Bench People» – Freestyle Fellowship (1993) 12. «Park Bench People» – José James (2008) Les parcs et la chanson_ Les parcs, ce n’est pas que du bonheur. Ce sont aussi des dortoirs à ciel ouvert pour celles et ceux qui n’ont pas de lit – les «gens des bancs des parcs» (Park Bench People) chantés par le groupe de Los Angeles Freestyle Fellowship (1993), puis par le New-Yorkais José James (2008). => L’album The Dreamer de José James dans le catalogue des Bibliothèques municipales
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 8. «MacArthur Park» – Carmen McRae (1968) 9. «MacArthur Park» – Sammy Davis Jr. (1972) 10. «MacArthur Park» – Waylon Jennings and The Kimberlys (1969) Le parc et la chanson_ MacArthur Park se trouve à Los Angeles. «La partie sud-est principalement constituée d’un lac, tandis que la partie nord comprend un amphithéâtre, un terrain de football (soccer) et une plaine de jeux pour enfants» (Wikipédia). «MacArthur Park», écrite par Jimmy Webb en 1968, est à la fois la plus célèbre des chansons inspirées par un parc et une des plus bizarres, par ses virages musicaux tarabiscotés et par des paroles dont la trivialité semble saboter les envolées dramatiques de la musique: «Quelqu’un a laissé le gâteau sous la pluie/Je ne pense pas que je pourrai le supporter/Il a fallu si longtemps pour le cuire/Et je ne ferai plus jamais cette recette»… Tout s’explique si l’on donne la parole à l’auteur: «Les gens pensent qu’il s’agit d’un trip psychédélique, mais tout ce qu’il y a dans la chanson est réel. Ma copine travaillait dans une compagnie d’assurance près de MacArthur Park à Los Angeles, on se retrouvait là pour le lunch… On m’a demandé un million de fois d’expliquer ce qu’était ce fameux gâteau laissé sous la pluie. Eh bien, nous mangions du gâteau et nous l’avons laissé sous la pluie. C’était une métaphore presque trop parfaite du fait que je venais de perdre un chapitre d’entier de ma vie. Ma copine m’avait quitté, et j’ai mis toute ma douleur dans cette chanson» (Jimmy Webb, «How we made MacArthur Park», The Guardian, 11.11.2013) => Le journal The Guardian dans l’offre PressReader des BM. Après avoir écouté quelques centaines de versions, nous avons sélectionné nos trois préférées, celles de Carmen McRae (1968), Sammy Davis Jr. (1972) et Waylon Jennings and The Kimberlys (1969). => La version de Frank Sinatra dans le catalogue des Bibliothèques municipales => La version de Beggars Opera dans le catalogue des Bibliothèques municipales => La version de Donna Summer dans le catalogue des Bibliothèques municipales => La version d’Elvis Presley dans le catalogue des Bibliothèques municipales => La version jazz de Stan Kenton dans le catalogue des Bibliothèques municipales => La version de la Mantovani Orchestra dans le catalogue des Bibliothèques municipales => La version orchestrale de Paul Mauriat dans le catalogue des Bibliothèques municipales => Une version karaoké dans le catalogue des Bibliothèques municipales
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres… (playlist évolutive) 7. «Gezi Park» – Breakplus (2015) Instant Bull by Breakplus Le parc et la chanson_ «Le parc Gezi (en turc, Gezi signifie « promenade ») est un parc urbain d’Istanbul situé dans le quartier de Taksim. Sa suppression est envisagée par le projet de piétonnisation de la place Taksim et engendre un mouvement protestataire.» (Wikipédia). L’album Instant Bull du musicien genevois Breakplus, qui inclut le morceau «Gezi Park» (2015), est «une célébration ésotérique et ludique de l’histoire du rock anatolien, alliant un matériau de départ très funky à une dextérité certaine en matière de sampling» (breakplus.bandcamp.com).
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 6. «Luxembourg Park» – OMOH (2015) Le parc et la chanson_ «Luxembourg Park», c’est normalement le Jardin du Luxembourg à Paris. «In the bus, line eighty-five/How much I loved you/How much I loved you/In front of/Luxembourg Park» («Dans le bus, ligne 85/Combien je t’aimais/Combien je t’aimais/Devant le/Jardin du Luxembourg»…) => La compilation Nova Tunes 3.3 avec le morceau «Luxembourg Park» d’OMOH (2015) dans le catalogue des Bibliothèques municipales
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 5. «Grillen im Park» – Kollektiv Turmstrasse (2006) La chanson et le parc_ «Grillen im Park (KTS Remix)» (2006), par Kollektiv Turmstrasse. Quel parc? Qu’est-ce qu’on y grille? Ce duo électronique venant de Hambourg, s’agit-il obligatoirement de hamburgers?
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Quel genre de musique les parcs publics inspirent-ils? Voici nos réponses préférées. Donnez-nous les vôtres en nous écrivant à leparcaugmente@numeriquebm.ch => Playlist complète ici => Autre playlist, orientée électronique, ici 4. «Tompkins Square Park» – Mumford & Sons (2015) Le parc et la chanson_ «Tompkins Square Park» parle d’une relation qui s’achève dans le Tompkins Square Park à New York, qui a été le théâtre de plusieurs émeutes au cours des 150 dernières années. Le parc servait de lieu de rassemblement pour les artistes (Allen Ginsberg habitait à proximité lors des émeutes de 1988), pour les bohémiens et pour les sans-abris. En raison de la gentrification du quartier, le parc a perdu une partie de son ambiance artistique, mais son héritage fonctionne parfaitement comme toile de fond pour le sujet difficile de la nouvelle chanson de Mumford & Sons.» (www.popsongprofessor.com) => L’album Wilder Minds de Mumford & Sons (2015) dans le catalogue des Biblothèques muncipales
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